|
|
|
|
|
Articles en accès libre |
| 1. Choisissez un n° |
| 2. Puis un article |
|
|
Hausse contenue des péages d'autoroutes au 1er février 2026
Au 1er février 2026, le tarif des péages d'autoroute en France ne devrait augmenter « que » de 0,87% en moyenne (selon les sociétés concessionnaires, entre 0,82% et 0,95%). Une hausse inférieure à 1%, et donc similaire à l'inflation 2025 (et moindre ...
lire la suite
Au 1er février 2026, le tarif des péages d'autoroute en France ne devrait augmenter « que » de 0,87% en moyenne (selon les sociétés concessionnaires, entre 0,82% et 0,95%). Une hausse inférieure à 1%, et donc similaire à l'inflation 2025 (et moindre par rapport à l'inflation attendue pour 2026, estimée à 1,3% par la Banque de France), ce qui constitue a priori une bonne nouvelle pour les automobilistes. Pour rappel, l'augmentation en 2025 était de 0,92%, en 2024 de 3% et en 2023 de 4,75%.
Pour autant, « 40 millions d'automobilistes » rappelle que les taxes prélevées par l'État représentent désormais 45% du montant total payé par les usagers. Près d'un euro sur deux dépensé au péage relève donc de l'impôt. - MF
|
|
Un 12-tonnes électrique Renault Trucks pour la distribution en centre-ville
Renault Trucks élargit sa gamme électrique avec un D 12T E-Tech, un 12-tonnes conçu pour la distribution en centre-ville qui sera livré à partir de septembre 2026. Compact et maniable, il complète la gamme intermédiaire électrique de 16, 19 et 26 t. ...
lire la suite
Renault Trucks élargit sa gamme électrique avec un D 12T E-Tech, un 12-tonnes conçu pour la distribution en centre-ville qui sera livré à partir de septembre 2026. Compact et maniable, il complète la gamme intermédiaire électrique de 16, 19 et 26 t. Avec un châssis de 2,39 m de large, un empattement de 3,8 m et un rayon de braquage inférieur à 7,3 m, le D 12T est idéal en milieu urbain dense.
Son seuil de chargement abaissé facilite les opérations répétées, qu'il s'agisse de distribution sèche ou frigorifique. Sa charge utile atteint 5,6 t, grâce à sa structure allégée, sa cabine de 2,10 m et son moindre nombre de batteries par rapport au D 16T : le 12T dispose de quatre batteries (176 kWh au total) qui lui assurent 200 km d'autonomie, contre 300 pour le 16T (300 kWh). Il dispose en outre d'un chargeur embarqué 43 kW AC, permettant une recharge sur des bornes en courant alternatif, installables au dépôt pour environ 5 000 euros.
En termes de confort de conduite, le Renault Trucks E-Tech D 12T est le seul camion de sa catégorie à bénéficier d'une suspension pneumatique intégrale, à l'avant comme à l'arrière... Son prix, selon Renault Trucks, devrait être compétitif, notamment grâce à sa nouvelle technologie de batterie LFP du chinois CATL, au prix abordable.
L'application Driver App permet de suivre à distance les informations de recharge et le module Optifleet Mission, proposé de série, de planifier les itinéraires. - MF
|
|
Prison avec sursis pour deux voleurs de fret
Au bout de plusieurs semaines d'enquête et un dispositif de surveillance mis en place par les gendarmes de la Compagnie d'Arles, deux hommes (23 et 32 ans) ont été pris sur le fait en train de dérober dix cartons de whisky. Madhi S. et Oussama L., ca...
lire la suite
Au bout de plusieurs semaines d'enquête et un dispositif de surveillance mis en place par les gendarmes de la Compagnie d'Arles, deux hommes (23 et 32 ans) ont été pris sur le fait en train de dérober dix cartons de whisky. Madhi S. et Oussama L., cagoules sur la tête, portaient des gants et des pinces.
Ils viennent de respectivement condamnés par le tribunal judiciaire de Tarascon (13) à 18 mois et à trois mois de prison avec sursis. D'avril à septembre 2025, ils avaient volé du fret dans des poids lourds en stationnement à Saint-Martin-de-Crau, profitant du sommeil des conducteurs. Un autre homme suspecté d'avoir participé aux vols n'a pas été retrouvé par les forces de l'ordre. - MF
© Gendarmerie des Bouches-du-Rhône
|
© Gendarmerie des Bouches-du-Rhône
|
|
L'A7 coupée une fois de plus à la circulation en direction de Marseille
Un nouveau cas de deux poids lourds en feu a provoqué une coupure de l'A7 entre Chanas-St Rambert d'Albon (n°12) et Tain l'Hermitage qui devrait durer une bonne partie de la journée, même si l'accident mobilise une vingtaine de sapeurs-pompiers avec ...
lire la suite
Agrandir
Un nouveau cas de deux poids lourds en feu a provoqué une coupure de l'A7 entre Chanas-St Rambert d'Albon (n°12) et Tain l'Hermitage qui devrait durer une bonne partie de la journée, même si l'accident mobilise une vingtaine de sapeurs-pompiers avec l'appui de six engins.
Un camion des Transports Laurent Czimer de Cavaillon (84) a percuté l'arrière d'une tautliner lourdement chargée de sacs de ciment, qui roulait à 40 km/h pour grimper le col du Grand Boeuf. Le premier a pris feu au PK37, et l'incendie s'est propagé au deuxième et aux accotements, entraînant d'importantes fumées, rapporte notre confrère Le Dauphiné Libéré. L'un des conducteurs a été légèrement blessé et transporté à l'hôpital le plus proche, tandis que l'autre est resté sur place.
Rappelons que les routiers ne doivent pas emprunter la N86 au-delà de Reventin car la route y est interdite aux plus de 2,50 m de hauteur (à Chavanay). Un bouchon de 10 km s'étend pour sortir à Chanas vers la N7, qui est saturée.
Aux dernières nouvelles, à 10h45, on apprend que la voie la plus à gauche de l'A7 sera rouverte peu après 11h. - MF
©Le Dauphiné LIbéré Laurie Muscio
|
|
Fructueux contrôle de surcharge à Lure
Une vaste opération de contrôle de camions et Vul menée jeudi dernier sur une aire de Lure (en Haute-Saône) a permis de relever 40 infractions pour surcharge concernant 16 véhicules, sur 70 contrôlés tout au long de la journée de jeudi dernier. La ge...
lire la suite
Une vaste opération de contrôle de camions et Vul menée jeudi dernier sur une aire de Lure (en Haute-Saône) a permis de relever 40 infractions pour surcharge concernant 16 véhicules, sur 70 contrôlés tout au long de la journée de jeudi dernier. La gendarmerie et la Dreal ont volontairement ciblé cette période de gros flux de colis avec Black Friday et Noël qui approche.
Hormis la surcharge, les 30 agents présents ont examiné les temps de conduite et de repos du chauffeur, l'assurance, le permis de conduire... Bilan sur ces points de contrôle : un téléphone au volant, un pneu lisse, un refus d'obtempérer, deux défauts de licence de transport, deux délits de travail dissimulé, trois défauts de document de décompte de la durée du travail, deux défauts de déclaration de détachement.
Les surcharges détectées sur la balance imposent de décharger le surplus, et donc de faire venir un autre fourgon ou poids lourd, selon le cas, pour ne pas compromettre la sécurité (le freinage peut alors être défaillant). Il en coûte 90 euros d'amende forfaitaire par dépassement d'une tonne pour les PL. Pour les camionnettes, la tranche est de 500 kg, précise notre confrère l'Est Républicain. Sans compter la sanction de l'immobilisation. - MF
|
|
Les semis Chéreau proposées avec la réfrigération électrique de Sunswap
Pour remplacer les groupes frigorifiques diesel dont le coût d'exploitation et d'entretien continue de grimper, Chéreau propose le groupe Sunswap Endurance . Ce groupe de fabrication britannique supprime le diesel pour le transport frigorifique grâce...
lire la suite
Pour remplacer les groupes frigorifiques diesel dont le coût d'exploitation et d'entretien continue de grimper, Chéreau propose le groupe Sunswap Endurance . Ce groupe de fabrication britannique supprime le diesel pour le transport frigorifique grâce à l'association d'un système avancé de stockage par batterie et de panneaux solaires montés sur le pavillon de la semi-remorque.
Ce dispositif répond aux besoins des applications surgelés, froid positif et multitempérature. Chéreau évoque 81% de réduction des coûts d'exploitation et 35% d'économie sur le coût total de possession. Endurance a fait ses preuves sur d'autres marchés européens chez des transporteurs tels que DFDS, TIP Group, Tesco et Ocado. Des essais avec des transporteurs français sont en cours. - MF
|
|
Ça bouge chez le concepteur de Vul électriques Flexis
Le constructeur français de Vul électriques Flexis, fondé en 2024 avec le soutien de Renault Group, Volvo Group et CMA CGM, a pour ambition d'optimiser la livraison du dernier kilomètre. Ses premiers fourgons seront produits à partir de 2026 dans l'u...
lire la suite
Le constructeur français de Vul électriques Flexis, fondé en 2024 avec le soutien de Renault Group, Volvo Group et CMA CGM, a pour ambition d'optimiser la livraison du dernier kilomètre. Ses premiers fourgons seront produits à partir de 2026 dans l'usine Renault à Sandouville. À Solutrans, on a pu voir son prototype Panel Van, dont des tests sur route sont en cours.
La société y a aussi lancé son nouveau service de gestion multimarque des opérations de flotte (avec notamment une fonctionnalité de suivi de colis) et s'est associée à Geotab (société de solutions pour véhicules connectés) et Ampeco (acteur des plateformes de gestion de recharge électrique).
L'offre de gestion de flotte permet aux opérateurs du dernier kilomètre d'externaliser des tâches complexes et critiques telles que la maintenance de la flotte, la recharge et la gestion digitale, quelle que soit la marque des Vul et leur motorisation. Elle combine un suivi de flotte en temps réel piloté par la donnée avec un accompagnement humain assuré par les Fleet Advisors de Flexis, qui se rendent dans les dépôts chaque mois pour aider les transporteurs à tirer le meilleur parti des données provenant de leur flotte de véhicules. Ça peut par exemple se traduire par une meilleure optimisation de ses recharges de batteries. - MF
Ce prototype Panel Van de Flexis, dont des tests sur route sont en cours, devrait être produit en 2026.
|
|
Les automobilistes qui viennent se suicider contre les camions, un sujet dont on ne parle pas assez
Le courageux témoignage sur les réseaux d'un fils de routier accidenté la nuit du 26 au 27 novembre souligne le phénomène récurrent des automobilistes qui vont volontairement se déporter au dernier sur un camion pour en finir avec la vie. C'est un mi...
lire la suite
Le courageux témoignage sur les réseaux d'un fils de routier accidenté la nuit du 26 au 27 novembre souligne le phénomène récurrent des automobilistes qui vont volontairement se déporter au dernier sur un camion pour en finir avec la vie. C'est un miracle que ce conducteur routier ne soit pas mort, car cela se passait dans le Var, sur la N7 bordée de platanes...
L'automobiliste (une femme de 60 ans) s'en est sortie aussi. « J'aimerais juste rappeler aux personnes dans le cas de cette dame que faire cet acte et mettre la vie des autres en danger est totalement injuste. Elle aurait pu briser une famille », souligne le fils du routier.
Trop souvent, avant même de savoir si un camion accidenté est responsable d'un drame, les médias et les internautes ont tendance à tout de suite voir en lui un coupable. Cet énième cas de suicide rappelle que, très souvent, ce n'est pas le cas. Attention aux jugements hâtifs ! - MF
La photo publiée par le fils du conducteur visé par l'automobiliste.
... et celle parue dans Var Matin, qui ne précisait pas hier matin les circonstances de l'accident.
|
|
Solutrans 2025 est monté en puissance par rapport à 2023
Le bilan du salon Solutrans est particulièrement satisfaisant pour les organisateurs, qui notent une « montée en puissance remarquable » de cet événement qui se veut structurant pour l'ensemble de la filière. Les chiffres ne mentent pas : plus de 1 1...
lire la suite
Le bilan du salon Solutrans est particulièrement satisfaisant pour les organisateurs, qui notent une « montée en puissance remarquable » de cet événement qui se veut structurant pour l'ensemble de la filière. Les chiffres ne mentent pas : plus de 1 100 exposants et marques présents, dont 30% d'internationaux (représentant 21 pays), répartis sur une surface record de 100 000 m² ; participation inédite de plus de 30 constructeurs VI et Vul ; 64 000 visites professionnelles enregistrées, dont 25% d'internationaux, représentant près de 100 pays.
Malgré un contexte économique incertain, le volume de commandes enregistré a confirmé l'attractivité commerciale du salon. Enfin, le niveau d'implication des exposants a, lui aussi, franchi un nouveau cap :stands spectaculaires, animations renforcées, démonstrations immersives... - MF
(©Fréor)
|
(©Fréor)
|
|
Un « HVO Tour » pour démontrer les bienfaits du HVO
L'Union européenne a confirmé que les utilitaires légers thermiques pourront continuer à circuler après 2035, à condition d'utiliser des carburants neutres en carbone. « Les moteurs thermiques sont prêts pour l'après 2035 et le HVO100 peut jouer un r...
lire la suite
L'Union européenne a confirmé que les utilitaires légers thermiques pourront continuer à circuler après 2035, à condition d'utiliser des carburants neutres en carbone. « Les moteurs thermiques sont prêts pour l'après 2035 et le HVO100 peut jouer un rôle clé dans la transition énergétique », déclare Altens.
Le distributeur de HVO s'associe au HVO Tour européen et cherche à prouver que ce biocarburant est l'une des solutions efficaces pour réduire drastiquement les émissions dès maintenant. Ce périple de 10 000 km en quatre semaines dans une vingtaine de pays européens est parcouru par un Fiat Ducato et un Citroën Berlingo alimentés exclusivement en HVO100. Le capteur FluidBox Micro de SP3H dont ils sont équipés leur permet de certifier en temps réel la nature du carburant utilisé et la réduction de CO₂ associée (jusqu'à 90% par rapport au diesel).
Rappelons que le HVO, issu de déchets organiques (huiles alimentaires usagées et graisses résiduelles), est compatible avec de nombreux moteurs diesel existants, sans modification. - MF
Ce capteur qui équipe le Fiat Ducato et le Citroën Berlingo sur le Tour européen leur permet de certifier qu'ils carburent bien au HVO et de prouver la réduction de CO₂ associée
|
Ce capteur qui équipe le Fiat Ducato et le Citroën Berlingo sur le Tour européen leur permet de certifier qu'ils carburent bien au HVO et de prouver la réduction de CO₂ associée
|
|
Commander en ligne de bons de paiement pour les tunnels du Fréjus et du Mont-Blanc avec Axxès
Hormis le passage à la 4G de ses badges C'Moov, pour une transmission des données plus rapide, Axxès enrichit sa plateforme de données Lucy d'un service pour les tunnels du Fréjus et du Mont-Blanc, qui n'acceptent pas les badges de télépéage (pour un...
lire la suite
Hormis le passage à la 4G de ses badges C'Moov, pour une transmission des données plus rapide, Axxès enrichit sa plateforme de données Lucy d'un service pour les tunnels du Fréjus et du Mont-Blanc, qui n'acceptent pas les badges de télépéage (pour une question de sécurité). Leur passage nécessite une carte de paiement (qui n'est pas partageable) ou la commande de bons sur des plates-formes (sept minutes par bon).
« Avec Lucy, la commande en ligne de bons de passage pour les tunnels du Fréjus et du Mont-Blanc ne prend que 10 secondes et un clic : il suffit de rentrer l'immatriculation et de valider ! Cette manipulation rapide permet au conducteur de les recevoir instantanément par e-mail et évite le recours à une carte physique », explique Frédéric Lepeintre, président d'Axxès. À noter que ce service, qui sera disponible en janvier 2026, est intégrable à une plateforme tierce. C'est utile, car les passages des soustraitants contribuent à l'augmentation de la remise annuelle accordée par les tunnels.
Avec plus de 40 000 sociétés clientes soit 350 000 véhicules équipés en Europe, Axxès a trois concurrents en Europe dans l'interopérabilité (un badge pour plusieurs pays) avec AS24, Telepass et Toll4Europe, essentiellement actifs sur les corridors ouest-européens. Prochaine étape pour Axxès, qui vient de rentrer dans le giron du groupe portugais Brisa, spécialiste des services de mobilité : un service de réservation de parkings payants. - MF
Frédéric Lepeintre, président d'Axxès (©Fréor)
|
Frédéric Lepeintre, président d'Axxès (©Fréor)
|
|
Une hausse des carburants au 1er janvier 2026 attribuée aux énergéticiens contraints de financer des actions d'économies d'énergie
À compter du 1er janvier 2026, le prix des carburants augmentera de 5 à 6 centimes d'euro par litre. En cause, s'indigne l'association « 40 millions d'automobilistes », la montée en puissance de l'enveloppe dédiée aux Certificats d'économie d'énergie...
lire la suite
À compter du 1er janvier 2026, le prix des carburants augmentera de 5 à 6 centimes d'euro par litre. En cause, s'indigne l'association « 40 millions d'automobilistes », la montée en puissance de l'enveloppe dédiée aux Certificats d'économie d'énergie (CEE), qui passera de 6 à 8 milliards d'euros par an en vertu d'un décret publié en octobre 2025. De son côté, la Cour des comptes estime qu'il s'agit d'une « quasi-taxe » directement répercutée sur les usagers, même si le gouvernement évoque un effet « marginal » de cette mesure.
Rappelons que le mécanisme des CEE impose aux fournisseurs d'énergie (carburants, gaz, électricité) de financer des actions d'économies d'énergie. Mais comme toute taxe déguisée, la note finale est transférée aux consommateurs : les automobilistes paient déjà en moyenne 76 euros par an, car les CEE représentent 11 centimes par litre à la pompe. À partir de 2026, cette charge grimpera pour atteindre 16 à 17 centimes par litre. Les énergéticiens répercutent donc les deux tiers des coûts des CEE directement sur les factures de leurs clients.
« Qu'il s'agisse des radars, des ZFE ou désormais de cette pseudo-taxe énergétique, tout concourt à rendre la vie des conducteurs plus difficile et plus coûteuse », explique Pierre Chasseray, délégué général de 40 millions d'automobilistes. - MF
Photo-montage (©Fréor)
|
Photo-montage (©Fréor)
|
|
Un livreur de colis agressé et séquestré à Saint-Saturnin-lès-Avignon
Un livreur de 22 ans a eu la peur de sa vie... En délivrant des colis à Saint-Saturnin-lès-Avignon (Vaucluse), il s'est fait agresser et séquestrer dans son fourgon, sans toutefois être blessé. Ses agresseurs lui ont volé une partie de sa cargaison. ...
lire la suite
Un livreur de 22 ans a eu la peur de sa vie... En délivrant des colis à Saint-Saturnin-lès-Avignon (Vaucluse), il s'est fait agresser et séquestrer dans son fourgon, sans toutefois être blessé. Ses agresseurs lui ont volé une partie de sa cargaison. Selon notre confrère francebleu.fr, il a expliqué aux gendarmes qu'il a été abordé par plusieurs individus aux visages masqués, qui ont pris le volant de son utilitaire pour le garer dans un endroit plus discret et voler une partie des colis stockés dans le camion, avant de s'enfuir à bord d'un autre véhicule. - MF
|
|
Un terminal de ferroutage Modalohr Sète-Calais
Après une année de travaux, le nouveau terminal ferroviaire du Port de Sète-Frontignan a été inauguré par Jean Castex, qui a pris ses fonctions de PDG du groupe SNCF il y a moins d'un mois. Objectif : faire transiter 40 000 remorques par le ferroviai...
lire la suite
Après une année de travaux, le nouveau terminal ferroviaire du Port de Sète-Frontignan a été inauguré par Jean Castex, qui a pris ses fonctions de PDG du groupe SNCF il y a moins d'un mois. Objectif : faire transiter 40 000 remorques par le ferroviaire entre Sète et Calais.
C'est la technologie de transbordement Modalohr qui est appliquée. La nouvelle autoroute ferroviaire dessert le terminal Modalohr de Calais, mais crée aussi des liaisons vers les autres sites équipés du système comme Dunkerque, Orbassano près de Turin en Italie, Dudelange au Luxembourg et Poznan en Pologne.
Équipés d'une plateforme pivotante, les wagons Modalohr permettent le chargement en épis de tous types de semi-remorques, notamment les non préhensibles (90 % du parc européen) et évitent les manutentions par grue ou portique, pas toujours existants sur les sites. - MF
Le nouveau terminal ferroviaire du Port de Sète-Frontignan (©Modalohr)
|
Le nouveau terminal ferroviaire du Port de Sète-Frontignan (©Modalohr)
|
|
Téléphone au volant : le département des Landes applique la suspension immédiate du permis
Le préfet des Landes se distingue depuis le 1er novembre 2025 en prononçant systématiquement une suspension administrative immédiate du permis de conduire à l'encontre des usagers verbalisés pour avoir fait usage de leur smartphone au volant. Les con...
lire la suite
Le préfet des Landes se distingue depuis le 1er novembre 2025 en prononçant systématiquement une suspension administrative immédiate du permis de conduire à l'encontre des usagers verbalisés pour avoir fait usage de leur smartphone au volant. Les conducteurs de camion sont donc aussi concernés, d'autant que cette mesure inédite dont nous fait part notre confrère L'argus pourrait inspirer d'autres préfets...
En 2024, il y a eu 6,4% de verbalisations en plus pour ce motif par rapport à 2023 au niveau national. Face à ce comportement qui quadruple le risque d'accident (selon l'Organisation mondiale de la santé), utiliser son téléphone tenu en main en circulation constitue aujourd'hui une contravention de 4e classe. Elle est passible d'un retrait de 3 points et d'une amende forfaitaire de 135 euros, minorée à 90 euros en cas de paiement dans les 15 jours (30 jours par télépaiement).
Cette amende peut être majorée à 375 euros, voire à 750 euros en cas de contestation de l'infraction jugée infondée par le tribunal de police. Une suspension du permis de conduire pouvant aller jusqu'à trois ans est également encourue, mais cette privation du droit de conduire prévue par la réglementation n'est que très rarement prononcée dans les faits.
Concrètement, l'agent verbalisateur retient le permis de conduire du contrevenant et adresse sur-le-champ un procès-verbal d'infraction au préfet, qui dispose alors d'un délai de 72 heures pour prendre un arrêté de suspension administrative du permis d'une durée comprise entre 15 jours de six mois. Cette décision est ensuite notifiée à l'intéressé soit par courrier (LRAR), soit directement par la police ou la gendarmerie. - MF
Initialement (en 2003), tenir un téléphone en main en conduisant n'était puni « que » d'une amende de 150 euros maxi et d'un retrait de 2 points du permis de conduire.
|
Initialement (en 2003), tenir un téléphone en main en conduisant n'était puni « que » d'une amende de 150 euros maxi et d'un retrait de 2 points du permis de conduire.
|
|
Un routier quinquagénaire retrouvé mort dans un camion
Hier matin vers 7h30, un routier de 55 ans a été retrouvé mort au volant de son camion stationné dans la zone de Kerpont, à Caudan (56). Quelqu'un avait alerté les sapeurs-pompiers en signalant un « homme en difficulté ». À leur arrivée, ...
lire la suite
Hier matin vers 7h30, un routier de 55 ans a été retrouvé mort au volant de son camion stationné dans la zone de Kerpont, à Caudan (56). Quelqu'un avait alerté les sapeurs-pompiers en signalant un « homme en difficulté ». À leur arrivée, les secours ont découvert la victime en arrêt cardiorespiratoire et n'ont pas pu le réanimer. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie, afin de préciser les circonstances du décès. - MF
|
|
TotalEnergies s'associe à Daimler Trucks et à Scania pour accompagner les transporteurs dans leur transition énergétique
À Solutrans,TotalEnergies a annoncé la signature de deux partenariats, l'un avec Daimler Trucks France, l'autre avec Scania France. Avec Daimler Truck, le partenariat stratégique propose une offre de services complète baptisée « eTruck » à destinatio...
lire la suite
À Solutrans,TotalEnergies a annoncé la signature de deux partenariats, l'un avec Daimler Trucks France, l'autre avec Scania France. Avec Daimler Truck, le partenariat stratégique propose une offre de services complète baptisée « eTruck » à destination des clients Mercedes : elle comprend la fourniture d'électricité, l'installation de l'infrastructure, la maintenance et le pilotage intelligent de la recharge électrique. TotalEnergies propose également un accompagnement aux primes CEE et une bonification préférentielle, une remise auprès des clients Daimler Truck France (dotés de la carte Charge+Truck) sur les tarifs de recharge électrique dans les stations AS 24.
Par ailleurs, TotalEnergies a inauguré hier son premier dépôt semi-public sur le site Truck Store de Gonesse (95), cocréé avec Daimler Truck. Doté de 10 points de charge, dont 2 sont des mégachargeurs à 400 kW, il ouvre la voie à un nouveau modèle hybride. Outre son usage par Mercedes pour ses propres véhicules de démonstration ou de formation, ce dépôt semi-public est ouvert aux Vul et PL circulant dans le nord-est parisien, quelle que soit leur marque.
« En usage privé, nous maîtrisons les coûts de recharge grâce à un pilotage intelligent qui privilégie les moments où les prix de l'électricité sont les plus avantageux. Cependant, l'infrastructure n'est pas pleinement utilisée. Le modèle de dépôt semi-public permet d'optimiser ce taux d'usage en mutualisant les usages quand c'est possible, et offre ainsi un nouveau levier de compétitivité à nos clients transporteurs et logisticiens », explique Mathieu Soulas, Directeur Nouvelles Mobilités chez TotalEnergies.
Avec Scania, il s'agit d'offrir des offres multi-énergies avantageuses dédiées aux clients Scania portant sur le BioGNC, l'électricité et le HVO. Les nouveaux acquéreurs de camions Scania à énergies alternatives pourront bénéficier d'offres compétitives sur le réseau AS 24. En contrepartie, Scania met à disposition auprès de l'énergéticien des camions pour tester les technologies de recharge ultra-rapide (MCS) sur les stations TotalEnergies et AS 24. Ces tests vont permettre d'analyser les courbes de recharges électriques et le comportement des véhicules. - MF
En rouge, l'un des deux e600 qui restent à livrer à Lahaye, sur une commande de 10 unités. Le vert est à Bogaert, qui l'utilise avec 4 autres e600 et e400 sur des lignes en container (©Fréor)
Ulrich Loebich, le président de Daimler Truck France, et Mathieu Soulas, Directeur Nouvelles Mobilités chez TotalEnergies, entourent l'adjoint au maire de Gonesse (©Fréor)
|
|
Un panorama de la filière VI et Vul pointe les craintes réglementaires des constructeurs
La FFC Constructeurs et Mobilians (organisation professionnelle du commerce et de la réparation) publient un nouveau panorama de la filière Véhicules Industriels et Utilitaires (Vul-VI) à l'échelle européenne. Dans un contexte marqué par de fortes in...
lire la suite
La FFC Constructeurs et Mobilians (organisation professionnelle du commerce et de la réparation) publient un nouveau panorama de la filière Véhicules Industriels et Utilitaires (Vul-VI) à l'échelle européenne. Dans un contexte marqué par de fortes incertitudes, ce secteur essentiel résiste assez bien. Il n'empêche, sur les trois premiers trimestres 2025, la filière VI+Vul traverse une phase de net ralentissement économique.
On note une baisse des immatriculations dans l'Union européenne, avec notamment -9,8% pour les PL, pour atteindre 225 483 unités. Tous les principaux marchés ont enregistré une contraction, dont l'Allemagne (-17,9%) et la France (-13,4%).
Le marché des Vul est également en net recul en France (-10%) et cette tendance s'étend à l'échelle européenne où la baisse atteint 13%.
La filière fait également face à un double enjeu : un vieillissement global et une transition énergétique qui progresse à un rythme encore modéré (les ventes de VI électriques dépassent tout juste 2% des ventes en France et devraient aboutir à plus de 1000 véhicules immatriculés cette année).
Deux sources d'inquiétudes dominent. D'une part, le marché européen (et français dans une moindre mesure) présente un profil déséquilibré : moins de 4 % de véhicules nouvelles énergies, 55 % de véhicules de plus de 10 ans. D'autre part, les véhicules très anciens ont peu de chance d'être remplacés par des modèles nouvelles énergies, trop chers.
Le renouvellement du parc PL par des véhicules électriques est toujours freiné par des coûts d'investissement élevés qui se traduisent par un TCO défavorable, et des prix de transport non ajustés à la hauteur des surcoûts constatés. En outre, les transporteurs ne savent jamais ce qui les attend en termes d'aides et de subventions, trop fluctuantes. Et puis le parc de tracteurs thermiques diesel est assez récent, en moyenne. En France, la fiabilité du B100 et du GNC, ainsi que leur compétitivité, repoussent à plus tard l'investissement dans des tracteurs électriques.
Résultat : alors que les premiers objectifs Vecto de réduction d'émissions de CO2 des constructeurs de véhicules industriels devraient être atteints sans difficulté pour 2025, l'échéance 2030 s'annonce presque inatteignable, avec de fortes pénalités en perspective pour les constructeurs et carrossiers. Pour résumer, si la volonté d'avancer vers des motorisations plus durables est bien présente, les freins économiques, techniques et réglementaires demeurent nombreux.
En conséquence, la filière appelle plus que jamais à un dialogue renforcé entre les acteurs économiques et les pouvoirs publics pour adapter et assouplir les objectifs fixés pour les véhicules industriels ou les matériels remorqués. - MF
Détail des réglementations européennes en matière d'émissions de CO2.
L'état du parc de PL européens
La composition du parc tracteurs en France
|
|
Ford Trucks a présenté ses modèles F-Line électrique et F-Max 2e génération
Lors de Solutrans, Ford Trucks a présenté son véhicule électrique F-Line E et la deuxième génération de son F-Max récemment lancé. Selon Emrah Duman, vice-président du groupe, Ford Trucks a un atout en étant capable de concevoir et fabriquer ses prop...
lire la suite
Lors de Solutrans, Ford Trucks a présenté son véhicule électrique F-Line E et la deuxième génération de son F-Max récemment lancé. Selon Emrah Duman, vice-président du groupe, Ford Trucks a un atout en étant capable de concevoir et fabriquer ses propres moteurs et transmissions. « En combinant durabilité, performance et technologie au sein de notre nouvelle gamme, nous continuons de renforcer notre présence en Europe oteur de nouvelle génération offrant jusqu'à 11 % d'économies de carburant, selon Christian Digoin, Président F-Trucks France, notamment grâce à son design aérodynamique. - MF
©Fréor
|
©Fréor
|
|
Un chauffeur de camion succombe à l'explosion de son tracteur
Hier matin vers 11h, un accident très rare s'est produit... Un semi-remorque transportant des poissons vivants a explosé sur la D915 près de Dieppe (Seine-Maritime), provoquant la mort du conducteur routier, originaire de Dieppe. Un autre camion, pré...
lire la suite
Hier matin vers 11h, un accident très rare s'est produit... Un semi-remorque transportant des poissons vivants a explosé sur la D915 près de Dieppe (Seine-Maritime), provoquant la mort du conducteur routier, originaire de Dieppe. Un autre camion, présent sur les lieux, a reçu des projectiles au niveau de sa remorque. Le conducteur, choqué, a été transféré à l'hôpital de Dieppe. Les circonstances de ce drame sont inconnues, une enquête a été ouverte.
L'explosion a été entendue à plusieurs kilomètres, faisant même exploser les vitres des riverains. Deux foyers ont dû être relogés et une école évacuée. Plus de 80 sapeurs-pompiers avec 20 véhicules de secours se sont rendus sur place, ainsi qu'une dizaine de gendarmes. Les enquêteurs se penchent sur le système d'alimentation en oxygène via des bonbonnes de gaz (pour maintenir les poissons en vie) qui pourraient être à l'origine de l'explosion de la cabine. - MF
Photo publiée sur le site de France 3.
©Illustration d'un camion (porteur en l'occurrence) spécialisé dans le transport de poissons vivants, avec, lui, un dispositif d'oxygénation placé sous le châssis. Sur le camion accidenté, on peut supposer qu'il était sur la face avant de la semi.
|
|
|
|
|
| Articles en accès libre |
|
| 1. Sélectionnez un numéro |
| 2. Choisissez un article en accès libre |
|
|
|
|